Notre séjour tire à sa fin mais il y a encore beaucoup de choses à écrire sur le pays et la ville.
Nous avons vécu avec le décompte des jours séparant la population avec le coup d’envoi de la coupe du monde de foot.
10 octobre 2017, stade Rommel Fernández Gutiérrez de Panama City. Match de qualifications entre le Costa Rica et Panama. Les “Canaleros” doivent gagner pour aller en Russie. Aïe, les Costaricains déjà qualifiés marquent un but à la 36ème minute.
A la 53ème un corner du côté droit avec de la confusion chez les Costaricains. “Le joueur panaméen Blas Perez se jette sur le ballon qui rebondit sur le poteau et ressort. Le ballon n’a jamais franchi la ligne, il ne l’a même pas effleuré, mais l’arbitre accorde l’égalisation. Un deuxième miracle, en fin de match, scellera la qualification historique.”
“Au Panama, on ne débattra pas de ce « gol fantasma » de la Marea Roja. On se fout de savoir le but était ou non valable, l’essentiel est d’être qualifié… On pleure en direct et le président décrète un jour férié et une fête nationale.” ( Le Monde.fr).
El Mercado de Abastos. Un petit Rungis.
J’accompagne Anne-Maxence de 6Gone pour son dernier ravitaillement en frais.
Les légumes et les fruits sont magnifiques.
Notre porteur.
Il vaut mieux être nombreux à bord pour les déguster, sans conservateurs ils ne se gardent pas longtemps, Eric lors de sa traversée en jettera une partie, dommage.
Vedette de surveillance de l’armée. l’échappement est tellement sonore que l’arrivée de ce “petit navire ” n’est pas discrète du tou malgré son camouflage “razzle dazzle”. Le camouflage disruptif, aussi connu sous le nom de Razzle Dazzle aux États-Unis et sous celui de camouflage Dazzle, était une technique de camouflage destinée à protéger un navire des tirs d’artillerie et de torpilles, en empêchant l’adversaire d’estimer avec précision sa position et son cap. (Wikipédia)
Savoir qu’à la marina Flamengo il est impossible de faire du carburant à marée basse, même pour un dériveur.